« Le documentaire « Après la Pluie » m’a passionnée. C’est le projet de deux réalisateurs verviétois : Quentin Noirfalisse et Jérémy Parotte. Ils sont allés à la rencontre des citoyens sinistrés dans la région de la Vesdre après les terribles inondations de 2021. Comment nettoyer, se loger, reconstruire, se reconstruire après un événement aussi sidérant ? Il est question d’histoires intimes, de destins fracassés mais aussi d’entraide et d’humanité. Ce documentaire a l’extrême bon goût de ne pas tomber dans l’émotion facile, la pudeur est de mise, un documentaire qui pose aussi les bonnes questions sur l’aménagement de notre territoire. Nos autorités ont-elles retenu les leçons de la plus grande tragédie climatique belge ? Nos dirigeants ont-ils compris l’urgence climatique ? L’urgence des enjeux sociaux qui sont liés à l’état de notre environnement ? » (Extrait d’une critique de Cathy Immelin, RTBF)
(English)
« The two Verviers-based directors, Quentin Noirfalisse and Jérémy Parotte, watched in amazement as the greatest ecological disaster to hit Belgium and, more specifically, their homeland. They quickly took out their cameras to follow the protagonists who, after the rain, want to learn lessons… » (Les Grignoux)
« The documentary « After the Rain » fascinated me. It’s the project of two Verviers-based directors: Quentin Noirfalisse and Jérémy Parotte. They met the affected citizens in the Vesdre region after the terrible floods of 2021. How do you clean up, find housing, rebuild, and rebuild after such a staggering event? It’s about intimate stories, shattered destinies, but also about mutual aid and humanity. This documentary has the extreme good taste of not falling into facile emotion; modesty is essential, a documentary that also asks the right questions about the planning of our territory. Have our authorities learned the lessons of the greatest Belgian climate tragedy? Have our leaders understood the climate emergency? The urgency of the social issues linked to the state of our environment? » (Excerpt from a review by Cathy Immelin, RTBF)